$18.75
Métissage 2023
*Vous devez avoir 18 ans+ pour acheter ce produit!
Disponible pour cueillette en boutique ou livraison locale seulement (Laval, Montréal et une partie de la Rive-Sud)
Cultivé sur les coteaux de la Yamaska à St-Louis (Montérégie).
Cidre bouché 2023
Élaboré entièrement à partir de pommes sauvages récoltées sur leur domaine et sur les parcelles aux alentours.
Contient une cinquantaine de variétés uniques et non identifiées dont quelques-unes de pommettes.
Certaines pommes sont particulièrement amères, d’autres plus acides ou sucrées, et chacune possède sa propre trame aromatique.
Élevé 6 mois en bouteille, sans dégorgement
6,8% alc./vol
Format: 750ml
mode d'emploi
Rafraîchir comme il faut avant de le déguster, et à ouvrir délicatement question d'éviter les pertes ou les dégâts :)
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quelques notes
Les pommes sont récoltées en continu de août à octobre dès lors qu’un pommier a atteint sa pleine maturité. Les fruits sont ensuite laissés en caisses au frais pour une durée de 10-15 jours afin de leur permettre de compléter leur maturation. Après broyage, le marc est laissé en macération durant 24 heures avant d’être pressé. Une fermentation lente sur levures indigènes s’ensuit et cette fermentation s’étire sur plus de 2 mois avec l’ajout constant de nouveau jus, au fur et à mesure des nouvelles récoltes de pommes. De nombreux soutirages en court de fermentation permettent d’appauvrir le moût et de ralentir la fermentation pour clarifier le cidre et atteindre son plein potentiel aromatique. Le cidre est mis en bouteille avant la fin de la fermentation et complète sa prise de mousse naturellement pour atteindre environ 3 bars de pression. Aucun sulfite ajouté, aucun intrant, que des pommes!
Les pommes sont récoltées en continu de août à octobre dès lors qu’un pommier a atteint sa pleine maturité. Les fruits sont ensuite laissés en caisses au frais pour une durée de 10-15 jours afin de leur permettre de compléter leur maturation. Après broyage, le marc est laissé en macération durant 24 heures avant d’être pressé. Une fermentation lente sur levures indigènes s’ensuit et cette fermentation s’étire sur plus de 2 mois avec l’ajout constant de nouveau jus, au fur et à mesure des nouvelles récoltes de pommes. De nombreux soutirages en court de fermentation permettent d’appauvrir le moût et de ralentir la fermentation pour clarifier le cidre et atteindre son plein potentiel aromatique. Le cidre est mis en bouteille avant la fin de la fermentation et complète sa prise de mousse naturellement pour atteindre environ 3 bars de pression. Aucun sulfite ajouté, aucun intrant, que des pommes!
qui est Domaine du Nival
Matthieu Beauchemin, son père Denis, ainsi que Fannie Boulanger sont les artisans derrière le travail impeccable de ce vignoble. Pourquoi Nival… Comme la neige (nivis, en latin), pour se rappeler que le destin de la vigne au Québec est intimement lié à l’hiver. Il a toujours été clair pour eux que la mono-culture sur de grandes surfaces était un non-sens d'un point de vue écosystémique. En implantant le vignoble sur une terre vallonneuse, sillonnée de coulées, bordée par une des grandes rivières du sud du Québec et entourée de boisés, ils visaient à ce que les vignes ne représentent qu'une partie d'un tout beaucoup plus grand. Encore aujourd'hui, ils cultivent de petites parcelles, peu propices à la mécanisation excessive.
En plus d'avoir proscrit l'utilisation de produits chimiques de synthèse dans le vignoble, ils mettent en oeuvre depuis le tout début plusieurs pratiques biodynamiques. En choisissant de suivre les rythmes intrinsèques de la nature et en s'appliquant à rendre leur sol vivant, ils sont convaincus qu'ils offrent à la vigne tout le nécessaire pour qu'elle produise des raisins d'une qualité exceptionnelle. C'est plus de travail pour les vignerons, mais la vigne le leur rend bien.
Matthieu Beauchemin, son père Denis, ainsi que Fannie Boulanger sont les artisans derrière le travail impeccable de ce vignoble. Pourquoi Nival… Comme la neige (nivis, en latin), pour se rappeler que le destin de la vigne au Québec est intimement lié à l’hiver. Il a toujours été clair pour eux que la mono-culture sur de grandes surfaces était un non-sens d'un point de vue écosystémique. En implantant le vignoble sur une terre vallonneuse, sillonnée de coulées, bordée par une des grandes rivières du sud du Québec et entourée de boisés, ils visaient à ce que les vignes ne représentent qu'une partie d'un tout beaucoup plus grand. Encore aujourd'hui, ils cultivent de petites parcelles, peu propices à la mécanisation excessive.
En plus d'avoir proscrit l'utilisation de produits chimiques de synthèse dans le vignoble, ils mettent en oeuvre depuis le tout début plusieurs pratiques biodynamiques. En choisissant de suivre les rythmes intrinsèques de la nature et en s'appliquant à rendre leur sol vivant, ils sont convaincus qu'ils offrent à la vigne tout le nécessaire pour qu'elle produise des raisins d'une qualité exceptionnelle. C'est plus de travail pour les vignerons, mais la vigne le leur rend bien.