$16.00
Bourgots à la saumure boréale
Fabriqués à Rimouski (Bas Saint-Laurent).
Une belle conserve renfermant les délicieux bourgots du Québec de Chasse-Marée dans une saumure boréale à la myrique baumier!
mode d'emploi
À déguster pour l'apéritif, dans une salade, avec des pâtes ou même dans un risotto!
Pour un effet de fraicheur, mettre au frigo 30 min avant de consommer.
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les ingrédients (115 g)
Bourgot, eau, sel, myrique baumier.
Peut contenir des éclats de coquilles. Conserver à température ambiante et à l'abri de l'humidité. À consommer le jour de l'ouverture.
les ingrédients (115 g)
Bourgot, eau, sel, myrique baumier.
Peut contenir des éclats de coquilles. Conserver à température ambiante et à l'abri de l'humidité. À consommer le jour de l'ouverture.
qui est Chasse-Marée
Cofondé par deux passionnés des produits de la mer aux compétences complémentaires, Chasse-Marée est une initiative qui repose sur des valeurs fortes. Tout deux basés à Rimouski, Guillaume et Emmanuel ont à cœur de valoriser la diversité des produits de la mer québécois, promouvoir une pêche responsable et rapprocher les consommateurs des pêcheurs.
Chasse-Marée est un clin d’œil aux transporteurs nommés ainsi qui acheminaient les produits de la pêche vers leurs lieux de consommation à l’aide d’attelage de plusieurs chevaux avant l’avènement des voix ferrées. La marchandise devait arriver, fraîche, des côtes de la Manche aux halles de Paris dans un délai de vingt-quatre heures au maximum.
Cofondé par deux passionnés des produits de la mer aux compétences complémentaires, Chasse-Marée est une initiative qui repose sur des valeurs fortes. Tout deux basés à Rimouski, Guillaume et Emmanuel ont à cœur de valoriser la diversité des produits de la mer québécois, promouvoir une pêche responsable et rapprocher les consommateurs des pêcheurs.
Chasse-Marée est un clin d’œil aux transporteurs nommés ainsi qui acheminaient les produits de la pêche vers leurs lieux de consommation à l’aide d’attelage de plusieurs chevaux avant l’avènement des voix ferrées. La marchandise devait arriver, fraîche, des côtes de la Manche aux halles de Paris dans un délai de vingt-quatre heures au maximum.