$33.00
Matière à discussion 2022
*Vous devez avoir 18 ans+ pour acheter ce produit!
Disponible pour cueillette en boutique ou livraison locale seulement (Laval, Montréal et une partie de la Rive-Sud)
Cultivé sur les coteaux de la Yamaska à St-Louis (Montérégie).
Vin blanc 2022
Cépage: 100% Vidal
Foulage au pied des grappes entières suivi d’une macération de 36 heures
Macération carbonique de 11 jours sur 1/3 de la vendange
Élevage de 8 mois en fûts neutres et sur lies grossières avec quelques légers bâtonnages
Mise en bouteille sans filtration ni collage
10,2% alc./vol
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quelques notes sur la cuvée...
À défaut d'apporter beaucoup de richesse en sucre, le millésime 2022 aura été généreux au niveau aromatique et ce millésime de notre cuvée Matière à discussion est possiblement l'un des plus expressifs des dernières années. La décision de travailler le tiers des raisins en macération carbonique y est certainement pour quelque chose, tandis que le reste de la vendange pour cette cuvée a fait l'objet d'une macération à froid de 36 heures après un foulage au pied. Cette macération, tout comme l'élevage sur lies en fûts neutres, confère une belle texture au vin et de jolis amers qui allongent la finale. Et sur ce millésime, une présence un peu plus importante de lies en bouteilles vient apporter encore davantage de volume au vin. C'est, à nouveau cette année, une cuvée toute en délicatesse et franchement bien équilibrée.
À défaut d'apporter beaucoup de richesse en sucre, le millésime 2022 aura été généreux au niveau aromatique et ce millésime de notre cuvée Matière à discussion est possiblement l'un des plus expressifs des dernières années. La décision de travailler le tiers des raisins en macération carbonique y est certainement pour quelque chose, tandis que le reste de la vendange pour cette cuvée a fait l'objet d'une macération à froid de 36 heures après un foulage au pied. Cette macération, tout comme l'élevage sur lies en fûts neutres, confère une belle texture au vin et de jolis amers qui allongent la finale. Et sur ce millésime, une présence un peu plus importante de lies en bouteilles vient apporter encore davantage de volume au vin. C'est, à nouveau cette année, une cuvée toute en délicatesse et franchement bien équilibrée.
qui est Domaine du Nival
Matthieu Beauchemin, son père Denis, ainsi que Fannie Boulanger sont les artisans derrière le travail impeccable de ce vignoble. Pourquoi Nival… Comme la neige (nivis, en latin), pour se rappeler que le destin de la vigne au Québec est intimement lié à l’hiver. Il a toujours été clair pour eux que la mono-culture sur de grandes surfaces était un non-sens d'un point de vue écosystémique. En implantant le vignoble sur une terre vallonneuse, sillonnée de coulées, bordée par une des grandes rivières du sud du Québec et entourée de boisés, ils visaient à ce que les vignes ne représentent qu'une partie d'un tout beaucoup plus grand. Encore aujourd'hui, ils cultivent de petites parcelles, peu propices à la mécanisation excessive. En plus d'avoir proscrit l'utilisation de produits chimiques de synthèse dans le vignoble, ils mettent en oeuvre depuis le tout début plusieurs pratiques biodynamiques. En choisissant de suivre les rythmes intrinsèques de la nature et en s'appliquant à rendre leur sol vivant, ils sont convaincus qu'ils offrent à la vigne tout le nécessaire pour qu'elle produise des raisins d'une qualité exceptionnelle. C'est plus de travail pour les vignerons, mais la vigne le leur rend bien.
Matthieu Beauchemin, son père Denis, ainsi que Fannie Boulanger sont les artisans derrière le travail impeccable de ce vignoble. Pourquoi Nival… Comme la neige (nivis, en latin), pour se rappeler que le destin de la vigne au Québec est intimement lié à l’hiver. Il a toujours été clair pour eux que la mono-culture sur de grandes surfaces était un non-sens d'un point de vue écosystémique. En implantant le vignoble sur une terre vallonneuse, sillonnée de coulées, bordée par une des grandes rivières du sud du Québec et entourée de boisés, ils visaient à ce que les vignes ne représentent qu'une partie d'un tout beaucoup plus grand. Encore aujourd'hui, ils cultivent de petites parcelles, peu propices à la mécanisation excessive. En plus d'avoir proscrit l'utilisation de produits chimiques de synthèse dans le vignoble, ils mettent en oeuvre depuis le tout début plusieurs pratiques biodynamiques. En choisissant de suivre les rythmes intrinsèques de la nature et en s'appliquant à rendre leur sol vivant, ils sont convaincus qu'ils offrent à la vigne tout le nécessaire pour qu'elle produise des raisins d'une qualité exceptionnelle. C'est plus de travail pour les vignerons, mais la vigne le leur rend bien.