$31.00
Matière à discussion 2021
*Vous devez avoir 18 ans+ pour acheter ce produit!
Disponible pour cueillette en boutique ou livraison locale seulement (Laval, Montréal et une partie de la Rive-Sud)
Cultivé sur les coteaux de la Yamaska à St-Louis (Montérégie).
Vin blanc 2021
Cépage: 100% Vidal
Foulage au pied des grappes entières suivi d’une macération de 48 heures.
Débourbage statique léger suivi d’une fermentation sur levures indigènes en fûts de chêne neutres à une température maximale de 20°C.
Le vin a complété naturellement sa fermentation malolactique.
Élevage de 9 mois effectué en fûts neutres et sur lies grossières avec quelques légers bâtonnages.
Mise en bouteille sans filtration ni collage.
11,6% alc./vol
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quelques notes...
Le millésime exceptionnel qu'ils ont connu en 2021 a permis l'atteinte d'une maturité optimale pour le Vidal. Ce n'est certainement pas étranger au fait que cette édition de leur cuvée Matière à discussion est peut-être la plus réussie à ce jour. Encore cette année, ils ont choisi de faire macérer le raisin légèrement foulé au pied durant 48 heures avant pressurage puis ils ont fermenté et élevé ce vin en fûts neutres avec un léger travail de bâtonnage durant l'hiver. Le nez un peu discret et toujours classique balance entre le miel et la poire. Mais c'est en bouche où ce vin dévoile toute sa profondeur avec une belle amplitude, une texture enveloppante et une des jolis amers qui allongent la finale. C'est définitivement un vin de gastronomie qui donnera son plein potentiel à table.
Le millésime exceptionnel qu'ils ont connu en 2021 a permis l'atteinte d'une maturité optimale pour le Vidal. Ce n'est certainement pas étranger au fait que cette édition de leur cuvée Matière à discussion est peut-être la plus réussie à ce jour. Encore cette année, ils ont choisi de faire macérer le raisin légèrement foulé au pied durant 48 heures avant pressurage puis ils ont fermenté et élevé ce vin en fûts neutres avec un léger travail de bâtonnage durant l'hiver. Le nez un peu discret et toujours classique balance entre le miel et la poire. Mais c'est en bouche où ce vin dévoile toute sa profondeur avec une belle amplitude, une texture enveloppante et une des jolis amers qui allongent la finale. C'est définitivement un vin de gastronomie qui donnera son plein potentiel à table.
qui est Domaine du Nival
Matthieu Beauchemin, son père Denis, ainsi que Fannie Boulanger sont les artisans derrière le travail impeccable de ce vignoble. Pourquoi Nival… Comme la neige (nivis, en latin), pour se rappeler que le destin de la vigne au Québec est intimement lié à l’hiver. Il a toujours été clair pour eux que la mono-culture sur de grandes surfaces était un non-sens d'un point de vue écosystémique. En implantant le vignoble sur une terre vallonneuse, sillonnée de coulées, bordée par une des grandes rivières du sud du Québec et entourée de boisés, ils visaient à ce que les vignes ne représentent qu'une partie d'un tout beaucoup plus grand. Encore aujourd'hui, ils cultivent de petites parcelles, peu propices à la mécanisation excessive. En plus d'avoir proscrit l'utilisation de produits chimiques de synthèse dans le vignoble, ils mettent en oeuvre depuis le tout début plusieurs pratiques biodynamiques. En choisissant de suivre les rythmes intrinsèques de la nature et en s'appliquant à rendre leur sol vivant, ils sont convaincus qu'ils offrent à la vigne tout le nécessaire pour qu'elle produise des raisins d'une qualité exceptionnelle. C'est plus de travail pour les vignerons, mais la vigne le leur rend bien.
Matthieu Beauchemin, son père Denis, ainsi que Fannie Boulanger sont les artisans derrière le travail impeccable de ce vignoble. Pourquoi Nival… Comme la neige (nivis, en latin), pour se rappeler que le destin de la vigne au Québec est intimement lié à l’hiver. Il a toujours été clair pour eux que la mono-culture sur de grandes surfaces était un non-sens d'un point de vue écosystémique. En implantant le vignoble sur une terre vallonneuse, sillonnée de coulées, bordée par une des grandes rivières du sud du Québec et entourée de boisés, ils visaient à ce que les vignes ne représentent qu'une partie d'un tout beaucoup plus grand. Encore aujourd'hui, ils cultivent de petites parcelles, peu propices à la mécanisation excessive. En plus d'avoir proscrit l'utilisation de produits chimiques de synthèse dans le vignoble, ils mettent en oeuvre depuis le tout début plusieurs pratiques biodynamiques. En choisissant de suivre les rythmes intrinsèques de la nature et en s'appliquant à rendre leur sol vivant, ils sont convaincus qu'ils offrent à la vigne tout le nécessaire pour qu'elle produise des raisins d'une qualité exceptionnelle. C'est plus de travail pour les vignerons, mais la vigne le leur rend bien.